son père, que l'on retrouve comme demandeur en assignation contre Isabeau MOLLET, veuve. Encore un autre procès avec René ALÉNO, seigneur DE SAINT-ALOUARN, fils de Pierre ALÉNO DE SAINT-ALOUARN contre Marie-Claude LE NY (55) fille unique et héritière de François LE NY (procès de 1725 à 1728).

Le 14/VII/1733, le sieur DE VILLENEUVE DE KERSULGUEN (56) nommé en remplacement du sieur DE SAINT-ALOUARN, décédé. Enterrement de messire ALÉNO écuier seigneur DE SAINT-ALOUARN le 25/X/1733 (57).

Les procès ne sont pas terminés puisque c'est au tour de François-Guénolé-Pantaléon ALÉNO, chevalier, seigneur DE SAINT-ALOUARN, enseigne de vaisseau, fils aîné de René et petit-fils de Pierre, que l'on retrouve contre Marie-Claude LE NY, tuteur des enfants des sieur et dame DU MESNIL CHAMBLAYE et autres héritiers de Guénolé LE NY DE KERELLEC le 7/I/1735.

Trois autres personnes nous sont connus (sans date) : Anne-Claude ALÉNO DE SAINT-ALOUARN (58), Françoise ALÉNO DE SAINT-ALOUARN (59) et Joseph-Olivier ALÉNO DE SAINT-ALOUARN (60).

De l'union de François ALÉNO DE SAINT-ALOUARN et de Marie Josèphe Pélagie DE KERRET DE QUILLIEN (61) naît, le 28/VII/1738 au manoir de Saint-Allouarn, Louis-François-Marie (62).

Charles-Marc DU boisguéhenneuc, cousin de Louis, naît le 20/I/1740 au manoir de Kerguern, en Dirinon (63).

Procès de François Marie ALÉNO, chevalier, seigneur DE SAINT-ALOUARN, lieutenant de vaisseau contre Martin TRESGOUGUEN, prieur de Lambézellec le 7/IV/1742. De très nombreux procès le concernent (64).

Naissance en 1742 de Marie Renée (65) puis en 1743 de Marie-Charlotte-Pélagie ALÉNO DE ST-ALOUARN (66), enfants de François-René ALLÉNO.

Déclaration de messire ALÉNO DE SAINT-ALOUARN portant la reprise sur un corsaire anglais du navire « Le Vainqueur » de Bordeaux le 17/XI/1743 (ou 1744 ?) (67). L'Émeraude a pris en outre trois navires anglais le 11/I/1745. Prise du Marborough, de Bristol, de 120 tonneaux, le 20/I/1745 par le vaisseau du Roi, l'Émeraude, capitaine DE SAINT-ALOUARN. Interrogatoire de Pierre LE LOUP, capitaine de prise, portant que le navire anglais ayant refusé d'amener pavillon, l'Émeraude lui envoya une volée de mousqueterie qui tua le capitaine Richard HIAT, après quoi le navire se rendit. L'Hirondelle, de Cork, de 140 tonneaux, capitaine John LANG, prise par l'Émeraude, capitaine DE SAINT-ALOUARN (26 canons, 300 marins) le 22/I/1745. Prise de la « Dépêche » de Liverpool, de 55 tonneaux, venant d'Antigua chargée de sucre, coton et rhum, prise le 28/I/1745 par la frégate du Roi, l'Émeraude, capitaine DE SAINT-ALOUARN, armé en course au Havre par M. J. DU BOCAGE et F. DUMESNIL. Prise de la Dépêche par l'Émeraude, du Havre, capitaine DE SAINT-ALOUARN le 6/II/1745. Prise du navire français le « Prince d'Orange », du Havre, le 5/VI/1745 par la « Reine de Hongrie », de Bristol et capturés l'un et l'autre le 8/VI/1745 par les vaisseaux du Roi « La Fine » et l'Émeraude, capitaines DE ROSMADEC (René-Louis DE SAINT-ALOUARN) et DE SAINT-ALOUARN (François). Les frégates du Roi armées en course, l'Émeraude et la Fine, reprirent le 8/VI/1745 le « Prince de Conti », du Havre, J.C. LESTOBEC, négociant et G. TROILLARD, pilote.

René-Louis DE SAINT-ALLOUARN (68), frère de François, chevalier de ROSMADEC (69), participe, en XII/1745, à l'expédition française chargée de renverser la dynastie des HANOVRE et de réinstaller sur le trône de Londres Charles-Edouard STUART, que l'on appelle le Prétendant. L'enseigne de vaisseau ROSMADEC commande « la Fine », une frégate de 24 canons, force le blocus de Montrose, en Ecosse, assure le débarquement des troupes irlandaises, quelques 800 hommes, prend le sloop « le Hasard », découverte de l'amiral BYNG, bref se conduit avec une intrépidité qui force l'admiration et lui vaut, à lui simple enseigne, la croix de Saint-Louis. Mais l'expédition fait chou blanc, Charles-Edouard est vaincu à Culloden quatre mois plus tard, ROSMADEC tâte ensuite de la course où il se dépense sans barguigner : dix combats, un abordage, 27 prises dont cinq corsaires. Un beau palmarès (70).

En 1746, François-René DE SAINT-ALOUARN perd sa fille Marie-Charlotte-Pélagie, âgée de 2 ans et dix mois. Elle sera enterrée dans l'église (71).

Lieutenant de vaisseau, François ALÉNO DE SAINT-ALOUARN commande en 1747 la frégate « la Renomée » qui conduit M. DE CONFLANS, nouveau gouverneur de Saint-Domingue, à son poste dans les Antilles. A 50 lieues d'Ouesssant il rencontre un vaisseau saxon, « le Dover », devant lequel il ne baisse pavillon qu'à la suite de trois combats meurtriers, SAINT-ALLOUARN est fait prisonnier, se morfond trois mois à Plymouth, est libéré grâce, notamment, à l'intervention du maréchal DE SAXE, et renoue aussitôt avec la mer aventureuse. (72)

Le 1/III/1749, naissance d'un nouvel enfant, Marie Charlotte, pour François-Marie ALÉNO DE SAINT-ALOUARN, chef de nom, seigneur de Saint-Alouarn et d'autres lieux, capitaine de « vefseaux », chevalier de l'ordre militaire de Saint-Louis en 1749 (73).

15/IV/1749 : Signature de Marie Josèphe Catherine ALÉNO DE SAINT-ALOUARN (74)

Depuis 1754, Louis DE SAINT-ALOUARN fait carrière dans la Royale (75). En VIII/1755, jeune garde de 17 ans sur « l'Espérance », il est fait prisonnier en même temps que son oncle ROSMADEC et, comme lui, ronge son frein deux ans en Angleterre ; son infortune lui vaut toutefois d'être fait enseigne de vaisseau (76).

En XI/1755, cependant, « l'Espérance », dont René-Louis DE SAINT-ALLOUARN est officier, capitule devant « l'Oxford » au terme de cinq heures de combats acharnés. Blessé, SAINT-ALLOUARN cadet est fait prisonnier et croupit deux ans dans les geôles anglaises. (77)

Le destin des deux frères René-Louis et François DE SAINT-ALLOUARN est scellé par l'un des épisodes les plus cuisants de l'histoire maritime française du XVIIIème siècle. Capitaine de vaisseau, François commande « le Juste », 70 canons, 600 hommes, dans l'escadre de M. DE CONFLANS qui croise au large de la Bretagne méridionale en XI/1759 ; son frère ROSMADEC est son second. Ils participent ainsi à la désastreuse bataille des Cardinaux - du nom de rochers situés à l'est de Belle-Ile - où la flotte française est enfoncée par celle de l'amiral HAWKE. Harcelé par quatre vaisseaux ennemis, « le Juste » est dégagé par « le Soleil Royal », mais ROSMADEC succombe aussitôt à ses blessures, tandis que son François, l'épaule perforée par une balle, rend l'âme le lendemain, 21/XI/1759. (78)

Louis DE SAINT-ALOUARN épouse Marie-Jeanne DROUALLEN (79) le 20/I/1761 dans la chapelle du manoir de Kerazan en Loctudy (située à son extrémité sud). Le domaine appartenait à l'oncle de cette dernière, René Hyacinthe LE GENTIL DE ROSMORDUC (80).

Surnommée, on ne sait pourquoi, « la bergère de Penmarc'h », Madame DE SAINT-ALLOUARN était, disait-on, jolie et bossue. Elle n'avait qu'un an lorsque son père, Joseph-Hyacinthe, enseigne de vaisseau, succomba sur « le Juste » - déjà ! - en 1740, un an après son mariage avec sa cousine Marie-Pélagie LE GENTIL DE ROSMORDUC (81). Etait-ce parce que leurs pères avaient été fauchés sur le même vaisseau que les deux orphelins s'étaient unis ? Le jeune ménage va se partager entre son appartement brestois, l'hôtel quimpérois des SAINT-ALLOUARN, et le manoir de la Villeneuve, en Plomeur (82), opportunément hérité d'une lointaine tante (83). Madame DE SAINT-ALLOUARN, fille unique, avait hérité du manoir de Lestrémec en Tréméoc, propriété, au milieu du XVIIIème siècle, de la famille DROUALLEN, à la mort de ses parents (84).

La fulgurante promotion de Louis DE SAINT-ALLOUARN se poursuit en 1764 : lieutenant de vaisseau, à 26 ans ! (85)

De nombreux procès concerneront Louis-François-Marie ALLÉNO DE SAINT-ALOUARN (86).

De l'union de Louis ALLÉNO DE SAINT-ALOUARN et de Marie-Jeanne DROUALLEN naissent : Hyacinthe-Marie-Marcellin (1762-), Aimé-Marie-Louis (1765-1794), Sophie et Hippolyte-Marie-Agathe (1768-) (87).

En 1769, Louis perd son épouse, Marie-Jeanne DROUALLEN, morte à 29 ans, laissant quatre enfants, trois garçons et une fille, en bas âge - le dernier, Hippolyte, n'avait pas un an (88).

Depuis 1769 DU boisguéhenneuc seconde son cousin, Louis DE SAINT-ALLOUARN, sans interruption, d'abord sur « l'Écluse », une grande gabare chargée de transporter du bois, puis sur « le Berryer » et « le Gros-Ventre », - qu'il commanda lors de la croisière « GRENIER ». (89)

Parfois, entre deux campagnes, les trois marins (kerguélen (90), SAINT-ALLOUARN et DU boisguéhenneuc) échappent à l'ambiance portuaire et à leur appartement de Brest, et retrouvent leur hôtel quimpérois, théâtre priviliégié de la vie sociale de la noblesse cornouaillaise (91).

En 1770, SAINT-ALLOUARN a déjà secondé kerguélen sur la goélette « l'Aberwrach », la première école de pilotage de la marine (92).

Louis DE SAINT-ALLOUARN patrouille le long des côtes bretonnes, fait deux escapades aux Isles et c'est le tournant de 1771 : son ami kerguélen lui propose d'être son second dans la campagne d'exploration des mers australes dont il obtenu le commandement. (93)

Pour l'expédition à venir le commandant s'est entouré de compatriotes cornouaillais, des enseignes de vaisseau qui promettent, dont les hôtels familiaux à Quimper sont voisins. Louis y retrouve le chevalier MASCARENNE DE RIVIèRE (94), dont le domaine de la Coudraie, à Tréméoc, est proche de Lestrémec, le manoir des DROUALLEN ; son cher cousin Charles DU boisguéhenneuc (95) ; son autre cousin ROSILY (96) ; ses camarades LAUNAY, MINGAULT... Des « pays » qui avaient déjà eu l'occasion de naviguer ensemble, qui apprécient kerguélen et croient à ses intuitions. (97)

En 1771 l'aîné des enfants DE SAINT-ALLOUARN n'a pas dix ans, et leur mère n'est plus. Mais une telle occasion d'écrire une page glorieuse de l'histoire maritime de la France, la perspective de découvrir des contrées fabuleuses, de ramener des objets précieux, voire des indigènes pittoresques - depuis 1758 un Noir de Guinée vivait au Minven chez le cousin Charles-Nicolas DU boisguéhenneuc -, tout cela ne se refuse pas (98).

Officier de la Royale, kerguélen prend le commandement de « La Fortune », SAINT-ALOUARN celui de « Le gros ventre ». (99). La flottille de kerguélen n'a pourtant rien de grandiose : une flûte, « la Fortune », 24 canons, 200 hommes, qu'il commandait ; une gabare, « le

(55) NY (LE) : Seigneur de Kerélec, de Lesguen (en Plouguin). In POTIER DE COURCY (DE) (Pol) : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. II. - p. 333

(56) KERSULGUEN (DE) (ramage de Pont-l'Abbé) : Seigneur de Kersulguen, de Kerlozrec (en Ploudalmézeau), du Billon (en Plougonvelin), de la Boixière, de Kerduté et de Crech'onvel (en Ploujean), de Pratguen, de Coëtromarc'h (en Plestin), de Kergoff, de Kerélez, de Trédoulfen, de Chef-du-Bois (en Saint-Thomas de Landerneau), de la Villeneuve, du Hellez, de Coëtidual (en Taulé), du Guern (en Sizun), du Forestic (en Plouédern), de Kervasdoué (en Plougoulm). In POTIER DE COURCY (DE) (Pol) : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. II. - p. 130

(57) A.D.F. - 3 E Guengat - Sépultures - 25/X/1733

(58) A.D.F. - B 25

(59) A.D.F. - B 25

(60) A.D.F. - B 142

(61) KERRET (DE) : Seigneur de Kerret, du Val et de Kerserc'ho (en Saint-Martin-des-Champs), de Keravel et de Kerambartz (en Minihy), de Quillien (en Pleyben), de Penamprat, de Kerlouët, de Kerbalanec, de Castelduff, du Bourg-neuf, de Kergommatz, de Tréguilien, de Buors (en Plougasnou), de Tromorvan et de Kerguiniou (en Ploubezre), de Kervézenec, de Kervern (en Ploumilliau), de Penanvern, de Kerdoret, de Kerauffray, de Kerbriant, du Rumain, du Carpont, de Kerouazle, de Crec'hmorvan, de Coatlus (en Plounévez-Lochrist), de Kerlosquet, de Kergozou, de Kerguennec, de Kervallan, de Penanguer, de Kerlézérien (en Saint-Thomas de Landerneau), du Fresque (en Plougastel-Daoulas), de la Ville-Ernault. In POTIER DE COURCY (DE) (Pol) : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. II. - p. 124

(62) Le Télégramme de Brest, 19/X/1989 ; DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 9

(63) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 12

(64) A.D.F. - B 15, B 19, B 21, B 25, B 34, B 50, B 52, B 69, B 74, B 104, B 130, B 139, B 144, B 154, B 171, B 214, B 269

(65) Baptême de Marie Renée ALÉNO DE ST-ALOUARN "fille de François René ALLÉNO chevalier seigneur de SAINT ALOUARN chef de nom et d'armes et de dame Pelagie DE QUILIEN KVER(?) dame de Saint-Alouarn" - A.D.F. - 3 E Baptêmes - 2/III/1742.

(66) Baptême de Marie Charlotte Pélagie ALÉNO DE ST-ALOUARN - A.D.F. - 3 E Baptêmes - 14/V/1743.

(67) A.D.F. - Table des matières de la Série B

(68) Cité In A.D.F. - B 12, B 47, B 62, B 103, B 124, B 174,

(69) ROSMADEC (DE) : Marquis de Rosmadec en 1608 (en Telgruc), Seigneur de Tivarlen (en Landudec), de Pont-Croix (en Beuzec-Cap-Sizun), Comte de la Chapelle, en 1576 (en la Chapelle-sous-Ploërmel), Baron de Molac (en Molac), Seigneur de Sérent (en Sérent), de Kergournadec'h (en Cléder), de Botigneau (en Clohars), de Tréanna (en Elliant), de Penhoët (en Saint-Thégonnec), de la Palue (en Beuzit), de Saint-Jouan, de Gaël (en Gaël), Vicomte du Besso (en Saint-André-des-Eaux), Seigneur de Vauclair (en Plémy), de la Hunaydaye (en Plédéliac), de Montafilant (en Corseul), de Plancoët (en Plancoët), de Guébriant (en Pluduno), de l'Estang, de Brunault (en Trébrivan, du Hac (en Quiou), de la Houssaye, de Saint-Tual, du Plessix-Josso (en Theix), Marquis de Goulaine (en Haute-Goulaine), Seigneur de Comper (en Concoret), Baron de Porteric (en Saint-Donatien). In POTIER DE COURCY (DE) (Pol) : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. II. - p. 508

(70) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 7

(71) Sépulture de Marie Charlotte Pélagie ALÉNO DE ST-ALOUARN - A.D.F. - 3 E Sépultures - 14/IV/1746.

(72) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 7

(73) A.D.F. - 3 E Guengat Baptêmes - 2/III/1749 : Baptême de "Le deuxième mars mil sept cent quarante neuf par le soussignant recteur Bachelier de Sorbonne a été Batisée Marie Charlotte née le jour précédant fille légitime de mefsire François Marie ALÉNO, chef de nom et darme, Seigneur de Saint-Alouarn et d'autres lieux, capitaine de vefseaux, chevalier de l'ordre militaire de Saint Louis, et de dame Marie Josèphe Pélagie de KRET de Quillien demeurans en leur chateau de Saint Alouarn, parein et mareine ont été mefsire Charles DE REYMOND gensdarme de la grade du roy et demoiselle Marie Josephe Catherine ALÉNO DE SAINT ALOUARN qui signent".

(74) A.D.F. - 3 E Guengat Baptêmes - 15/IV/1749.

(75) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 9

(76) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 9

(77) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 7

(78) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 7

(79) DROUALLEN (DE) : Seigneur du Drouallen (en Paule), de Keramborgne (en Plounévez-Quintin), de Kerlouzouarn (en Callac), de Kerazan (en Loctudy), de Lesnallec. In POTIER DE COURCY (DE) (Pol) : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. I. - p. 347

(80) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 10

(81) GENTIL (LE) : Seigneur de Barvédet (en Ploéven), du Pontlez et de Kercaradec (en Quéméneven), de Coëtninon (en Plomodiern), de Kerléven (en Quimerc'h), de Rosmorduc (en Logonna), de Penanvern, de Quélern (en Crozon), des Rochers, de Pencran, de Kerougant, du Tromeur, de la Barbinais et Marquis de Paroy en Brie en 1754. In POTIER DE COURCY (DE) (Pol) : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. I. - p. 442

(82) In Le Télégramme de Brest, 19/X/1989

(83) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 9

(84) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 8

(85) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 9

(86) A.D.F. -  B 51, B 70,  B 105, B 129, B 140, B 166, B 280

(87) Le parrain d'Hippolyte est Charles DU boisguéhenneuc, cousin de Louis. In DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 20

(88) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 9

(89) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 22-23

(90) kerguélen (DE) : Seigneur de Kerguélen et de Trémarec (en Saint-Thoix), de Kermatéano (en Plogastel-Saint-Germain), de Kerroc'h (en Landrévarzec), de Penanjun (en Briec), de Kerbiquet, de Kersaint, du Guermeur, de Kergoat (en Melgven), de Kerlaouénan, de Kerfily, du Carpont, de Kernalec. In POTIER DE COURCY (DE) (Pol) : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. II. - p. 92

(91) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 3

(92) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 9-11

(93) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 9

(94) MASCARENE (orig. du Languedoc, y maintenu en 1669) : Seigneur de la Rivière, de Lezoualc'h (en Plouhinec), de la Coudraye (en Tréméoc). In POTIER DE COURCY (DE) (Pol) : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. II. - p. 246

(95) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 9-11

(96) ROSILY (DE) : Seigneur de Rosily et de Kerroignant (en Châteauneuf-du-Faou), de Méros (en Plounévez), du Timen, de Coëtanfao (en Séglien), de Pratanroux (en Penhars). In POTIER DE COURCY (DE) (Pol) : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. II. - p. 507

(97) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 9-11

(98) DUIGOU (Serge) : L'Australie oubliée de SAINT-ALLOUARN - Ed. Ressac, 1989 - p. 9-11

(99) In Le Télégramme de Brest, 19/X/1989.

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