rière (97). La même année, elle fonda une chapellenie dans la chapelle des sires DE GUENGAT dans la cathédrale de Quimper. Le patron, en 1531, était Jacques DE GUENGAT (98). En 1533, soit à peine quatre ans après son mariage, Jeanne DE talhouët décéda. François Ier fit alors don à Jacques DE GUENGAT de 1.200 livres tournois, montant des droits seigneuriaux dus au Roi suite au décès (99).

Jacques DE GUENGAT est qualifié seigneur de Guengat et de Pennanguer à la réformation de 1536 (100). En 1544, il déclare payer une rente sur la seigneurerie de Keruzas en Locmaria-Plouzané (101). Il perdit sa mère en 1547. Marie DE TROMELIN fut exceptionnellement enterrée dans le choeur de la cathédrale de Quimper en raison de sa générosité et de sa haute noblesse (102). Une chapellenie fut alors présentée en 1548, dans la chapelle des sires DE GUENGAT, dans la cathédrale de Quimper, par noble écuyer Ronan DE GUENGAT, seigneur de Livinot et de Botbadarn, héritier principal et noble de la fondatrice (103).

Le 27/X/1550, le Chapitre de la cathédrale de Quimper permit à la « généreuse demoiselle » Françoise DE GUENGAT, douairière de Lesivy, de placer un banc mobile dans sa chapelle ou dans toute autre partie de l'église qu'elle voudra sans préjudice des droits de l'église ou des autres (104).

En 1560 est construite la fontaine Saint-Yvi. Cette dernière porte les armes mi-parti GUENGAT - LANGUÉOUËZ (105).

Dans la montre générale faite à Quimper les 15 et 16/V/1562 est cité le sieur DE GUENGAT qui laisse défaut (106).

Jacques DE GUENGAT eut un fils René. De l'union de ce dernier avec Claude DE CORNOUAILLE (Famille Cf note n°76), dame de Cornouaille, de Lossulien et de Kervern, naquirent Jacques et René (107).

La guerre de la Ligue commence en décembre 1588 suite à l'assassinat du duc DE GUISE à Blois sur l'ordre d'Henri III. Le gouverneur de Bretagne, le duc DE MERCOEUR, prend le parti le la Ligue et entraîne la plus grande partie de la Bretagne dans la rébellion. Dès le début de la guerre, Jacques DE GUENGAT, qui a embrassé la religion réformée et le parti du roi Henri IV, fortifie son château, où il entretient bon nombre de gens de guerre (108). Jacques est un homme de guerre. Plusieurs missives et commissions des rois Henri III et Henri IV, des 3 et 26/III et 26/V/1589 l'autorisent à faire plusieurs levées de gens de guerre (109).

Le château de Guengat, par sa position, a excité les convoitises d'un partisan en 1590 (110). Un jeune éventé, de la maison DU BOUETTIER (111), aidé de vingt-cinq ou trente brigandeaux, se saisit du château de Guengat, où il se retrancha. Il pilla, ravagea, faisant des prisonniers, violant et tuant comme s'il eût été en terre de conquête, tant que les ligueurs de Quimper furent contraint de l'assiéger. Il se défendit quelques semaines. On y mena même quelques canons, toutefois de petit calibre. Il capitula à la condition d'avoir la vie sauve (112). En ce siège de Guengat moururent grand nombre de paysans ainsi qu'Alain DE MARHALLAC'H (113) (114).

Jacques DE GUENGAT, ayant repris son château, s'y fortifia à nouveau avec un certain nombre d'hommes de guerre (115). Il n'y resta pas longtemps car les habitants de Quimper, tous ligueurs, vinrent l'assiéger et le contraignirent à capituler au début de mars 1591 (116). Il se rendit à condition d'avoir la vie sauve et se retira alors à Brest (117) qui était la plus proche retraite de ceux qui suivaient le parti du Roi.

Les 3/VI et 11/IX/1592, il est de nouveau autorisé à lever des gens de guerre par le roi (118).

Ayant demeuré quelques temps en cette retraite de Brest, il imagina que Douarnenez pouvait aisément être surprise par mer, d'autant qu'on y pouvait aisément mettre pied à terre en plusieurs endroits. Il demanda, pour venir à bout de son dessein, un certain nombre des gens de guerre du seigneur DE SOURDÉAC (119), gouverneur du dit Brest, ainsi que des barques et pataches pour les porter. S'ajoutèrent à ces soldats des réfugiés volontaires qui se mirent de la partie, à dessein de bien faire leurs orgies car Douarnenez était alors habitée par des gens riches et plein de réfugiés qui y avaient apporté leurs moyens.

Cette belle flotte de dix à douze barques, faisant bien 3 à 400 hommes, sous la conduite du sieur DE GUENGAT, arriva au port de Douarnenez, environ deux heures avant le jour. Ils trouvèrent une si pauvre garde qu'ils mirent le pied à terre avant d'être découverts. Ils se jettent alors au pillage et à faire bonne chère. Cependant, l'alarme se donnait aux champs dans les paroisses voisines, où l'on sonna le tocsin, et il se trouva en moins de deux heures un grand nombre de populace que le comte n'avait pas encore désarmée, se jetant en foule dans le bourg, où était l'ennemi. Ils chargèrent si brusquement qu'ils contraignirent leurs attaquants à battre en retraite, vers leurs barquerolles. Malheureusement pour eux, ils avaient abordé en pleine mer, et ils ne furent pas assez prudents pour y laisser des gens pour les tenir à toujours à flot à mesure que la mer se retirait. Si bien que voulant se sauver, poursuivis par la commune et les habitants qui avaient pris courage, ils trouvèrent une partie de leurs vaisseaux sur le sec, surtout les plus petits car les plus grands étaient plus avant dans la mer mais ils ne pouvaient les atteindre sans craindre de se noyer. Ayant ainsi l'ennemi assez farouche en queue et la mer élément sans miséricorde de l'autre, de quelque part qu'ils se tournassent, ils ne voyaient que l'image de la mort, certains fuirent en se jetant à corps perdu à la nage, pensant gagner quelques-unes de leurs chaloupes, d'autres ayant plus horreur de la mer que du fer, attendirent le coup et étaient massacrés sur la grève. Jacques DE GUENGAT, avec plusieurs autres, attrapèrent de bonheur l'un des barques, où il se sauva. Dans une autre il y entra tant de soldats en foule qu'elle s'enfonça et ils furent tous noyés. Ceux qui se sauvèrent de cette entreprise s'en retournèrent avec leur capitaine à Brest, plus chargés de confusion que d'honneur (120).

Quelques temps plus tard, certainement après le départ de LA FONTENELLE (121), qui occupait l'Ile Tristan en février 1594, le sieur DE GUENGAT retourna à Douarnenez et, cette fois plus heureux, réussit à s'établir. Il se porta donc capitaine de l'île et du bourg pour le parti du Roi, aidé d'un certain nombre de soldats en garnison. Il logeait sur l'île pour une plus grande sûreté. Mais, sur la fin de mai 1595, du château de Crémenec, près du Faouët, LA FONTENELLE vint avec ses gens, passe à Locronan au point du jour, donne sur Douarnenez et se saisit de la ville et de l'île Tristan non sans quelque effusion de sang des habitants, ravage le tout et envoie tous ceux qui avaient quelques moyens prisonniers à Crémenec. Ayant été aussi négligent que ceux du bourg, dormant à la française, Jacques DE GUENGAT fut pris prisonnier dans son lit, car l'île et le bourg furent pris en même temps, ce qui trompa le sieur DE GUENGAT, qui faisait son compte que, en cas de danger, le bourg devait être le premier attaqué, et que le bruit qu'on y eut fait eut mis ceux de l'île sur leurs gardes (122).

Malgré ses déboires, on retrouve le 15/VIII/1597 (?), Jacques DE GUENGAT portant la cornette générale à la bataille de Saint-Brieuc (123). Les troubles de la Ligue prirent fin avec la signature de l'Edit de Nantes le 8/IV/1598. Jacques DE GUENGAT adjura peu après le protestantisme. Henri IV l'élit le 29/IV/1603 en l'Ordre de chevalier de Saint-Michel. La prestation de serment et délivrance de collier par le seigneur de sourdéac eurent lieu le 3/VI/1603 (124).

De son mariage avec Françoise DE RIMAISON, Jacques DE GUENGAT, « chevalier de l'Ordre du Roy » et Gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roi (125), eut un fils Jacques. Celui-ci épousa en 1606 Marie DU POULPRY, dame du Bren en Plouezoc'h, fille d'Allain DU POULPRY, « conseiller du Roy en sa Cour du Parlement de Bretagne » (126).

Jacques DE GUENGAT, seigneur de Levynot, participa à l'assemblée générale de l'église, de la noblesse, de la justice et des bourgeois de Quimper au Manoir épiscopal de Cornouaille pour délibérer sur l'établissement d'un collège de la Compagnie de Jésus à Quimper (127). En 1622, Jacques DE GUENGAT fonda une rente de six livres au profit du couvent des Cordeliers de Quimper (128).

Jacques DE GUENGAT eut trois enfants : Louise, héritière principale, René-François et Françoise. Françoise épousa Marc DE LANLOUP. Leur fils René-François DE LANLOUP (vivant en 1648) épousa N. DE RIMAISON, dame dudit lieu et de Talvern (129) mais mourut le 27/IV/1691. Faute d'héritier, l'héritage revint aux DE KERGORLAY, héritiers en l'estoc maternel (130).

Louise DE GUENGAT épousa René DE KERGORLAY. Voici la convention établie lors du mariage de ces derniers :

« Guengat, 9/I/1633.

Conventions en vue du mariage projeté entre René DE KERGORLAY, sieur du Cludon, et Louise DE GUENGAT. - Jacques DE GUENGAT et Marie DU POULPRY, père et mère de la future, s'engagent à donner au sieur du Cludon une somme de trente mille livres tournois, dont vingt mille ont été payées comptant. - Ils lui assurent, en outre, une rente de neuf cents livres et habilleront leur fille selon sa condition. - De son côté, René DE KERGORLAY promet à son épouse une rente de quinze cents livres, assignée sur la terre de Coatqueveran en Saint-Hernin, et un douaire de quatre mille livres sur sa fortune. - Il lui fournira, en outre, ses joyaux et son train, carrosse et équipage. - Le mariage est célébré par Yves DU POULPRY, archidiacre et chanoine de Léon (131).

Pour parvenir au mariage propofé entre haut et puiffant meffire René chef de nom et d'armes DE GUERGORLAY, feigneur du Cleuzon, baron de Peftivien, de Kerbabu, Kerbrigent, du Pleffis, Couetqueveran, etc., et demoifelle Louife DE GUENGAT, fille aifnée de haut et puiffant meffire Jacques, fire de Guengat et de Levinot, vicomte du Lignou, chatelain de Kerguern et de Botbodern, feigneur de Loffulien, Les Hafcouet, Garfcadec, etc., et dame Marie DU POULPRY, dame desdictz lieux, fa compaigne, chatellaine de Ploueshoez, dame du Couet Refpel, Kericuff, La Garenne, etc., lequel ne t'enfuivroit fans les points et conditions matrimoniaux cy après, aux fins de quoy font, ce jour neufvieme de janvier apres midy mil fix cents trente trois, par la cour et fenechauffée de Quimper-Corantin et celle de la cour et jurifdiction royalle de Chateaulin, avecq foumiffion et prorogation de jurifdiction y jurés par l'une et chacune d'elles, comparue en perfonnes, lesdictz feigneur et dame de Levinot et ladicte demoifelle leur fille, icelles duement autorifées dudict feigneur de Levinot aux fins de ceftes, refidants en leur chateau de Guengat, paroiffe de Guengat, d'une part, et ledit feigneur du Cleuzdon refidant au manoir du Cleuzon, paroiffe de Plougonver, eveché de Treguier, d'autre part, lesquels feigneur et dame de Levinot, en faveur dudict mariage, promettent bailler avec leur dite fille audit feigneur du Cleuzon la fomme de trente mille livres tournois, à valoir à laquelle fomme ils ont prefentement payé audict feigneur de Cleuzon, tant en piftoles quatruples d'or bons et de poiz qu'en quartz d'efcuz et une bonne monnoué ayants courtz en ce royaume, la fomme de vingt mille livres tournois ; laquelle fomme iceluy feigneur de Cleuzon a prins, receu et tiré à fa poffeffion et en a quité lesdictz feigneur et dame de Levinot ; et le reftant

(...)

(97) DUCREST DE VILLENEUVE (Emile) : Alain DE GUENGAT, In B.S.A.F. - 1897 - p. 163-176

(98) DIVERRÈS (H.) : Monographie de la commune de Guengat - B.S.A.F. 1891

(99) PÉRENNES (H., Chanoine) : Guengat - Rennes, 1941

(100) Réformation de la noblesse de l'évêché de Quimper-Corentin ou Cornouaille pendant les années 1426, 1444 et 1536. Manuscrit de la Bibliothèque Municipale de Rennes.

(101) KERHERVÉ (Jean) - PERES (Anne-Françoise) - TANGUY (Bernard) : Les biens de la couronne dans la sénéchaussée de Brest et Saint-Renan, éd. Institut Culturel de Bretagne - Skol-Uhel ar vro, 1984 : Rentier établi du 12/II/1544 au 16/IX/1544 : Archives départementales de la Loire-Atlantique : Fonds de la Chambre des Comptes (B1048) : Feuillet 33 au verso : « Jacques LE GUENGAT et Jehanne DE TALHOET sa femme par Maistre Yves TOURONCE leur procureur o povoir exprès, confesse debvoir oudict non à ladicte recepte de Sainct-Renan la somme de cinquante-neuff solz de rente par an, savoir : audict terme de Janvier vingt solz, et audict terme d'Aougst trante-neuff solz, sur et par cause de la terre et seigneurie de Keruzas qui fut autreffoiz à Messire Jehan DE DINAN, pour ce, cy, LIX s. »

(102) MEN (LE) : Monographie de la cathédrale de Quimper - 1877 - p. 112 ; "enterrée aux Cordeliers" : In DIVERRÈS (H.) : Monographie de la commune de Guengat - B.S.A.F. 1891

(103) DIVERRÈS (H.) : Monographie de la commune de Guengat - B.S.A.F. 1891

(104) MEN (LE) : Monographie de la cathédrale de Quimper ; DIVERRÈS (H.) : Monographie de la commune de Guengat - B.S.A.F. 1891

(105) PÉRENNES (H., Chanoine) : Guengat - Rennes, 1941

(106) FRÉMINVILLE (Chevalier de) : Le Finistère - second volume - montres de l'évêché de Cornouaille ; DIVERRÈS (H.) : Monographie de la commune de Guengat - B.S.A.F. 1891

(107) MOUSSET (Albert) : Documents pour servir à l'histoire de la maison de KERGORLAY  - p. 347 : "La treizième (pièce présentée à la réformation de 1669) eft le partage noble et advantageux baillé par ledit Jacques GUENGAT, fecond du nom, feigneur de Guengat, à René DE GUENGAT, fon frère puifné, aux fucceffions de nobles et puiffans René DE GUENGAT et de dame Claude DE CORNOUAILLE, leurs père et mère, du 7è mars 1583".

(108) DIVERRÈS (H.) : Monographie de la commune de Guengat - B.S.A.F. 1891

(109) MOUSSET (Albert) : Documents pour servir à l'histoire de la maison de KERGORLAY  - p. 347 : "(Pièce présentée à la réformation de 1669) : "lettres miffives et commiffions des roys Henri III et Henri IV audit DE GUENGAT pour faire plufieurs levées de gens de guerre (...) des 3è et 26è mars et 26è may 1589".

(110) DIVERRÈS (H.) : Monographie de la commune de Guengat - B.S.A.F. 1891

(111) bouëtiez (DU) : Seigneur de Bouëtiez et de Kerorguen (en Saint-Gilles), de Kerlan (en Pleyben), de Kersané, du Quélennec (en Languidic), de Saint-Nudec (en Caudan), de Coedor (en Guidel), de Kerollain (en Lanvaudan). René, chef des partisans, cité dans les guerres de la Ligue en 1590. In POTIER DE COURCY (DE) (Pol) : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. I. - p. 137

(112) Deux ou trois plus tard, le duc de MERCOEUR lui fit toutefois trancher la tête à Hennebont. In MOREAU (Chanoine) : Histoire de la Ligue en Bretagne - Ed. Le Bastard du Mesmeur - chap. V, p. 79

(113) MARC'HALLAC'H (DU) : Seigneur de Marc'hallac'h (en Plonéis), de Lezarvor, de Kerraoul (en Combrit), de Kermorvan, de Tréouron (en Lanvern), de Kerfeuntenic (en Ploubannalec), de Kerguillec (en Tréméoc). Alain, au nombre des défenseurs du château de Pont-l'Abbé, assiégé par les ligueurs en 1588, tué au siège de Guengat en 1590. In POTIER DE COURCY (DE) (Pol) : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. II. - p. 231

(114) MOREAU (Chanoine) : Histoire de la Ligue en Bretagne - Ed. Le Bastard du Mesmeur - chap. V, p. 79

(115) ABGRALL (Chanoine) : Kannadig

(116) PÉRENNES (H., Chanoine) : Guengat - Rennes, 1941

(117) DIVERRÈS (H.) : Monographie de la commune de Guengat - B.S.A.F. 1891

(118) MOUSSET (Albert) : Documents pour servir à l'histoire de la maison de KERGORLAY - p. 347

(119) RIEUX (DE) : Seigneur de Rieux, de Rochefort, Baron d'Ancenis, Comte de Châteauneuf, Vicomte de Donges, Comte d'Harcourt et d'Aumale (en Normandie), Baron de Laval, de Vitré et de Montfort la Canne, Marquis de Sourdéac (en Glénac), Marquis d'Assérac en 1574, Marquis d'Ouessant en 1597, Comte de Largouët (en Elven), Seigneur de Nozay (en Nozay), de Fougeray (en Fougeray), de la Feillée (en Goven), de l'Isle Dieu, de la Bretesche (en Missillac), Baron de la Roche-Bernard, de Derval et de la Hunaudaye (en Plédéliac), Seigneur du Plessis-Bertrand (en Saint-Coulomb). In POTIER DE COURCY (DE) (Pol) : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. II. - p. 474

(120) MOREAU (Chanoine) : op. cit.

(121) éDER : Seigneur de Beaumanoir (en Leslay), Baron de la Fontenelle (en Trégueux), Seigneur de la Villedoré et de la Villeraoul (en Cesson), de Guerlignon (en Cohignac), de Kerrien (en Tréglamus), de la Haye et de la Mastinais (en Missillac), de l'Ongle et de la Motte-Isar (en Guenrouët). Guy éDER DE LA FONTENELLE, célèbre capitaine ligueur, gouverneur de Douarnenez, condamné à mort pour divers crimes et exécuté en 1602. In POTIER DE COURCY (DE) (Pol) : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. I. - p. 354

(122) MOREAU (Chanoine) : op. cit.

(123) MOUSSET (Albert) : Documents pour servir à l'histoire de la maison de KERGORLAY  - p. 347 : "(Pièce présentée à la réformation de 1669) : certiffication dudit feigneur DE sourdéac, lieutenant pour le Roy en cette province, qu'à la bataille de Saint-Brieuc, ledit fieur DE GUENGAT portoit la cornette généralle"

(124) MOUSSET (Albert) : Documents pour servir à l'histoire de la maison de KERGORLAY  - p. 347 : "(Pièces présentées à la réformation de 1669) : "Lettres du roy Henry IVè, portant l'ellection dudit Jacques DE GUENGAT, fecond du nom, en l'Ordre de chevalier de Saint-Michel, preftation de ferment et délivrance du collier par le feigneur DE sourdéac".

(125) Kannadig

(126) MOUSSET (Albert) : Documents pour servir à l'histoire de la maison de KERGORLAY  - p. 347 : "La troifiefme (pièce présentée à la réformation de 1669) eft autre contrat de mariage paffé entre meffire Jacques DE GUENGAT, chevalier, feigneur de Livynot, fils unicque de noble et puiffant Jacques DE GUENGAT, chevalier de l'Ordre du Roy, et dame Françoife DE RIMEZON, fa compagne, feigneur et dame de Guengat, leurs père et mère, et damoifelle Marie DU POULPRY, fille de noble et puiffant meffire Allain DU POULPRY, feigneur dudit lieu, confeiller du Roy en fa Cour de Parlement de Bretagne, et de feue damoifelle Lucreffe LE GAC, vivante fa compagne, du 18è janvier 1606."

(127) A.D.F. - cote D 1 - 1611-1634

(128) PÉRENNES (H., Chanoine) : Guengat - Rennes, 1941

(129) POTIER DE COURCY (DE) (Pol) : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. I. - p. 490

(130) MOUSSET (Albert) : Documents pour servir à l'histoire de la maison de KERGORLAY

(131) MOUSSET (Albert) : Documents pour servir à l'histoire de la maison de KERGORLAY - p. 268-272

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